Attention aux fausses bandes-annonce !!

J.J. Abrams avait déjà annoncé que la bande annonce du prochain épisode de Star Wars allait être diffusée, et que plusieurs fausses bandes annonces circulaient sur le net : en voici une fausse et la vraie !




Mais attention Spielberg contre-attaque Lucas aussi comme producteur, avec Jurassic Parc 4 !
Spielberg avait promis une fin avec les acteurs du premier film, mais franchise et argent oblige, la bande annonce laisse prévoir un éternel recommencement et fait plus penser à une sorte de faux prequel comme c'est la mode à Hollywood en ce moment.


Bon, vivement la sortie de Star Wars à Jurassic Parc, ou comme on le disait dans Retour vers le futur II, les Dents de la mer numéro 22 en 3D pour 2015 ! ^^

Caricature !

Sarah Jessica Parker, une actrice qui a du poil et du chien dans le drôlissime Mars Attack de Tim Burton


Madame Robinson est orpheline

Il y a pas si longtemps j'avais consacré un article sur cet immense artiste qu'est Dustin Hoffman et par ce qu'on ne peut pas parler de lui sans parler du film "Le Lauréat", son metteur en scène Mike Nichols nous a quitté ce 20 novembre 2014 à 83 ans. Déjà l'Express au travers de leur journal Studio ciné live lui ont rendu hommage . Retour sur ce metteur en scène Américain qui laisse seul cette pauvre Madame Robinson.


Rencontres des cinémas d'Europe d'Aubenas et Moussaka !!!

Bon souvenir,
Cette année recommence de nouveau le formidable Festival des Cinémas d'Europe d'Aubenas !!!
Cette année, ma surprise, c'est que le jeudi, sera invité
le réalisateur Grec
Pános H. Koútras.

COMMENT VOUS NE LE CONNAISSEZ PAS ? J'avoue je n'ai vu qu'un seul de ses films pour l'instant, mais un film culte dont le titre parle de lui même : "L'attaque de la moussaka géante". C'est d’ailleurs son 1er film. Le film fit scandale à sa sortie en Grèce et fut censuré. Pour cause, la plupart des rôles sont joués par des travestis, ce qui n'a pas plus aux bonnes mœurs Grecques ! C'est fin, çà se mange sans faim ! Je l'ai vu il y a très longtemps, enfant, sur canal+, j'aimais la critique, la parodie des films Américains de catastrophe et des journaux TV.

Info : la Moussaka est Gémeau ascendant Sagittaire ^^


Et ci-joint l'article que j'avais fait l'an dernier : clic.
Ce ne sont que des beaux films de toute façon, tout çà demande un travail titanesque, alors je ne critique pas ! Je ne marque que mon avis, mon ressenti !


TWO DAYS IN PARIS

 

Et voici un résumé de mes 2 jours inoubliable chez l'ami Dubatov à Paris !
"Inoubliable grâce à lui"


Les jardins du château de Saint-Cloud qui ont servi de décor au film "Les cracks" avec Bourvil, pour le passage du film qui est sensé se passer à Vichy ^^

Bon... çà, c'est moi enfermé dans le parc !

 

Puis j'ai eu la chance d’être mené à l'exposition consacrée à l'oeuvre de François Truffaut à la cinémathèque Française.


Des 400 coups à la Nuit Américaine, de sa rencontre avec Hitchcock à rencontre du Troisième Type. On se laisse emporter avec émotion au travers du chemin de cet immense réalisateur aux facettes multiples ! 
L'expo est remplie d'affiches, de carnets et d'extraits vidéos.

Ici un prototype de la robe portée par Catherine Deneuve pour le Dernier métro.

Ça y est je me prends pour Antoine Doinel ^^

Et un maître rendant hommage à un autre, Truffaut et Hitchcock sont deux génies différents certes, et pourtant !

Puis nous étions invités aux Golden Blog 2014 !


Oui, j'ai voulu prendre une photo avec Pacman, sisi, le vrai ! Mais il a mauvais caractère; il a pris la fuite !

À droite, moi avec miss SNCF : attention ça rigole plus, et à gauche moi qui me la pète dans ce beau cadre de l'hôtel de ville de Paris !

Mon séjour s'est très bien passé, dommage qu'en rentrant chez moi j'ai été malade comme un chien pendant plusieurs jours ^^


Frank Capra drôle émouvant : l'homme de la rue au travers de Gary Cooper !

J'ai découvert un chef d'œuvre un coup de cœur ^^

Poésie, émotion, un film dessiné, ou on imagine plein de couleurs. Toujours autant d'actualité ! 

Ici Babara Stanwyck journaliste qui se fait licencier tente de se venger en créant de toute pièce le personnage d'un clochard au travers duquel elle a décidé de dénoncer les malheurs de la vie avant de se suicider du haut de la mairie de sa ville le soir de Noël. L'article publié fait scandale tout le monde veut rencontrer ce fameux John Doe, le journal décide de se servir d'un homme de la rue, Gary Cooper, et de créer un mythe. Au début Barbara Stanwyck, qui contrôle le personnage, a carte blanche pour créer un héros populaire qui réconforte les citoyens Américains, et tout semble merveilleux. Mais les patrons du journal veulent y gagner en retour et ont bien l'intention de se servir de la notoriété du personnage pour gagner en politique.  

En voilà un film qu'on devrait nous diffuser plus souvent les soirs de Noël, et qu'on ne voit jamais; mieux que le père Noël, Gary Cooper au travers de son personnage nous offre le plus beau des cadeaux, celui du bonheur.

 En voilà la preuve que le cinéma peut nous vendre du rêve. Et dire que l'on néglige si souvent le pouvoir de la comédie. Et oui la comédie sociale existe, elle critique notre société et parfois avec bien plus de sincérité qu'au travers du simple drame. Oserez-vous regarder en face et sourire de vous-même ? Ici Capra dénonce, il montre par sa propre influence ce qu'on nous influence chaque jour, ce que plus personne n'ose dire dans les films actuels. Dans tous ces films qu'on censure, que tout simplement on ne distribue pas. C'est la simple vérité que notre monde est simple et qu'il n'est pas commercial, pas individualiste, pas sans espoir... Ce monde nous le vivons chaque jour où trop souvent on se ment à soi-même pour rester dans ce monde d'apparence. Si ici Gary Cooper, appelé Jonh Doe, crie haut et fort ce que l'homme de la rue cache au fond de lui, c'est finalement pour nous rappeler que nous ne somme pas seul. N'y voyez aucune forme de naïveté, ce serait ne pas analyser la situation. Et puis un homme sans arrière pensée est ce qu'il y a de plus beau et c'est pour çà qu'ont s'attache à ce John Doe inventé de toutes pièces par le personnage de Barbara Stanwyck.


Le film, c'est aussi un formidable jeu de lumière avec le noir et blanc, le contraste de la nuit et le blanc de la neige par exemples. Barbara Stanwyck écrivant de toute hâte sur sa machine à écrire en contre plongée sur fond noir est vraiment la preuve créatrice de la mise en scène du cinéaste.Orchestré avec minutie, joué dans le cadre des plus belles comédies populaires, tous les décors bien que artificiels et sorties de studios, avec fond en décors peints. Rien n'en est gâché car tout sert à créer une atmosphère de rêve éveillé. Une comédie dramatique, romantique, certes, mais son contexte social ne le fait pas tomber dans l'eau de rose. Aller chercher plus loin, je ne pense pas qu'un tel film pourrait voir le jour aujourd’hui et c'est bien dommage. Surtout dans le contexte actuel où il y a pourtant, tant à dire. Mais aucun producteur n'en voudrait, ici pas de super héros, pas de marque à vendre... Alors pourquoi un happy end ? Car finalement c'est une preuve d'espoir qui l'emporte. L'amour ne meurt jamais. Et si quelqu'un vous dit le contraire, gare aux vautours, c'est à cause de cela que vous n'êtes pas libre et que vous devenez à cause de vous-même, des vautours, dit le personnage du colonel joué par Walter Brennan. Preuve que le cinéma américain n'a pas toujours été aussi aseptisé et commercial qu'aujourd'hui. Allez regarder cet "homme de la rue", un vrai remonte moral, un grand moment de bonheur qui  vous rappellera que vous n'êtes jamais seul et que la joie de vivre, elle se partage !!!   

Alors vivez, criez, car la seule drogue dont vous avez besoin c'est la vie ! 
Le film rappelle qu'on peu apprécier son travail et que même si on ne nous en donne pas on peut toujours se le donner nous-même entre nous pas la peine d'attendre que se bougent les hommes politiques. D’ailleurs internet est pour cela un moyen merveilleux puisque je peux vous faire partager mes émotions de cinéma en toute liberté. 

À ce propos mon coup de gueule personnel : Pas plus tard qu'hier un copain m'a envoyé cet article ridicule !
Ne laissez jamais les autres choisir à votre place ! Mais il y a tellement de belles choses à voir et découvrir. Qu'on ne connait pas, qu'on ne nous laisse pas voir, jamais diffusé ! Ici tout sera donc vendu par la même société, une monopolisation de plus. Non, on a pas à être catalogué, oui madame la Ministre, j'aime de tout; autant Capra que Jean-Pierre Mocky, Truffaut que Zemeckis... car si on aime le cinéma, il faut connaître tous les cinémas ! Alors que proposez-vous ? Quel profit commercial voulez-vous en tirer ? Une capitalisation artistique, quelque chose qui ne s'achète pas; le rêve, le bonheur ! Une ministre sociale tellement embourgeoisée, que les énarques en oublient leurs principes, à tel point qu'ils ne veulent plus s’appeler socialiste mais démocrate. Pour le chic international dont de toute façon ils sont eux-même victime.
 

Quelques films pour se faire peur : BOUH !!! 1er partie

Quelques films pour se faire peur : BOUH !!!

Depuis tout temps l'homme aime être surpris, ou se faire peur.
Dès le début, le cinéma a fait peur au spectateur avec "l'arrivée d'un train en gare à la Ciotat" 
C'est l'occasion d'Halloween pour vous parler de mon idée du genre et des meilleurs films que j'y ai vu selon moi.
1ère partie : Les débuts au travers du muet

Gorges Méliès, le magicien devenu grand créateur de l'art du trucage, inventeur du montage à tenter différentes expérience. Film fantastique, science fiction... ainsi l’épouvante l'amuse au travers de quelques films, "Le manoir du diable" (1896), "Barbe bleu" (1901), "Le revenant" (1903), "Le monstre" (1903)... Il fut un incroyable explorateur du récit à travers les images.

En 1913, un autre Français crée un mythe autour d'un des plus célèbres criminels de feuilleton, "Fantomas", réalisé par Louis Feuillade, va surprendre par son sujet grave surprenant jusqu’à ses scènes de meurtre. Ce qui en fait un des premiers grands thrillers du cinéma. En 1915, il crée une série de 10 films de 30 minutes environ sur les Vampires. Roi du frisson donc, il tombera totalement dans l'oubli à l'arrivée du cinéma parlant avant d'être classé grâce à la cinémathèque d’Henri Langlois, et d'être ressuscité par les louanges de metteurs en scène tel que Franju, Truffaut, Godard, Resnais et Buñuel.

Puis l’éclairage du film Allemand de Murnau, en 1922, adapté de Dracula, "Nosferatu le vampire" va effrayer plusieurs générations de spectateurs à travers le monde entier. Ce film muet raconte les aventures du premier vampire au cinéma qui va lancer une immense série et crée un mythe. Le film a inspiré grand nombre de metteurs en scène dont Tim Burton chez qui on retrouve des traces de ce film dans tous ses films, Werner Herzog, Tobe Hooper, et même le Français Christian de Chalonge pour son film "Docteur Petiot" et sa scène d'ouverture où le meurtrier "Michel Serrault" regarde le film au cinéma et ne le trouve pas assez convainquant.

En 1929 l'association de deux artistes pour un court métrage surréaliste fait scandale; déjà les Espagnols s’intéressent au monde fantastique qu'ils vont si bien développer au fil du temps. Un certain Salvador Dali et Luis Buñuel décident de raconter leurs rêves et leurs cauchemars grâce au cinématographe. Dans le film "Un chien Andalou", les deux hommes disent vouloir faire scandale en osant montrer ce que personne n'ose regarder en face. Le résultat donne un cauchemar toujours aussi dure et actuel.

à suivre...